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Garde républicaine

Les articles

22/01/2018

Dernière heure : Répression sanglante à Kinshasa

100 manifestants arrêtés et torturés dans la maison du frère du Président Kabila
On apprend à l’aube de ce 22 janvier qu’une centaine de personnes manifestant pacifiquement avec le curé et les prêtres de la paroisse St Christophe, à Kinshasa/Ngaliema/Quartier Anciens Combattants, ont été arrêtées et acheminées par la Garde républicaine (GR) à la résidence de Zoé Kabila où ils seraient actuellement torturés à mort. Les prêtres ont tous leurs vêtements déchirés. "Le régime sanguinaire s’affole !" conclut notre informateur qui appelle à une réaction urgente de l’opinion internationale. "Il y a déjà des morts." L’information provient du représentant congolais de la FIDH. Quant à Zoé Kabila, (...)

UA

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21/02/2023

Le gouvernement congolais ne paraît pas si bien bien disposé à mettre en œuvre les décisions des chefs d’État de (...)

Le rapatriement des réfugiés, le plus sensible des problèmes sous-jacents de la crise
 Le retour des réfugiés, un « prétexte fallacieux » ?
« Pour débarrasser le Rwanda d’un autre prétexte fallacieux sur la présence des réfugiés congolais sur son sol, le Gouvernement va travailler pour un retour rapide de nos compatriotes en respect des règles du HCR (haut commissariat aux réfugiés) et en impliquant étroitement les notabilités locales. Pour mettre fin aux manœuvres dilatoires justifiant le non-respect de la feuille de route de Luanda, l’Angola se chargera avec le facilitateur Kenyatta de notifier au M23 les décisions du mini-sommet d’Addis-Abeba et sa mise en œuvre immédiate ». — Patrick (...)

UNESCO

Les articles

24/02/2014

Scandale dans une agence de l’Onu. Roman.

4 questions à Zita Naramé
Un roman à clef jette une lumière crue sur la corruption et le clientélisme dans une agence de l’Onu. Rencontre avec l’auteur. A roman à clef casts a harsh light on the corruption and cronyism in an agency of the UN. Meet the author.

ONU

Les articles

Entretien avec Monseigneur Ngabu - « Vous voulez parler de la paix ? Quelle (...)

 Monseigneur Ngabu nous a quittés ce 26 octobre 2025 à Goma. Durant trente-six ans, de 1974 à 2010, Faustin Ngabu a dirigé le diocèse catholique de Goma, dans le (...)

Monseigneur Ngabu nous a quittés ce 26 octobre 2025 à Goma. Durant trente-six ans, de 1974 à 2010, Faustin Ngabu a dirigé le diocèse catholique de Goma, dans le Nord Kivu. Son mandat épiscopal fut marqué par les conflits armés et les guerres qui ont déchiré l’est de la République démocratique du Congo. Avec pour devise « que tous soient un », l’évêque s’est engagé avec constance en faveur de l’unité des Congolais et pour la paix.

Nous avons rencontré Faustin Ngabu à deux reprises à Goma, en février et septembre 2025. Nous avons tiré trois articles de ces deux rencontres. Dans un premier article, publié sur African Facts, l’évêque émérite rappelait qu’il n’y avait pas de communauté moins congolaise que les autres.
Dans le second article que nous avons publié, il revenait sur les revendications des rebelles et le tribalisme qui, selon lui, s’avère être la principale source des récents conflits qui endeuillent la région.
Dans ce troisième article, Monseigneur Ngabu revient sur la situation en Ituri, sur les initiatives et le rôle des églises au Congo et sur les raisons qui, dans la région, empêchent la paix. Puisse celui qui s’était tant engagé à la faire advenir y reposer.

Nous tenons à saluer la mémoire de Monseigneur Ngabu qui, malgré la fatigue et la maladie, avait pris le temps de nous accorder ces deux longs entretiens et à nous livrer son témoignage et son analyse.

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 27/10/2025

RDC : Appel urgent au Président Macron

 Aujourd’hui, on tue à Kinshasa. C’est à la mitrailleuse que l’armée tire sur la foule descendue dans les rues pour contester le régime de Joseph Kabila (...)

Aujourd’hui, on tue à Kinshasa.

C’est à la mitrailleuse que l’armée tire sur la foule descendue dans les rues pour contester le régime de Joseph Kabila prolongé au-delà de son deuxième mandat sans même un simulacre d’élection.

Rappelons, Monsieur le Président, que cette répression intervient moins d’un an après l’ouverture, en juillet, d’un centre de formation pour les hauts gradés de l’armée rdcongolaise, formation aux techniques de contre-insurrection assurée par des instructeurs français.

Depuis plusieurs années, dans ce pays ravagé par la misère, on a pu voir l’action délétère du général Baillaud, instrumentalisant diverses milices et bandes armées à seule fin de déstabilisation, ceci prenant des proportions effrayantes, d’abord au Kivu, et maintenant au Kasaï, où les sbires de Kabila ne reculent devant aucun des sales procédés de la « guerre révolutionnaire » chère à l’armée française depuis les années 50.

Nous demandons ici solennellement le rappel du général Baillaud, ainsi que la fermeture immédiate de cette école militaire criminelle ouverte à Kinshasa sous votre responsabilité.

Nous dénonçons aussi le fait que la France – et l’Espagne [1] – aient osé bloquer toute protestation européenne, de même que la France paralyse l’ONU sur ce dossier depuis bien longtemps.

Nous demandons que la France renonce à sa fonction de « penholder » [2] au Conseil de sécurité, et rappelle au besoin son ambassadeur auprès de cet organisme, afin de permettre à la communauté internationale de regarder la situation plus impartialement.

L’Agence d’Information
La Nuit rwandaise

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 21/01/2018

PNC

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Carnage au bord du grand fleuve

 Du 16 au 18 décembre, 890 personnes ont été tuées à l’arme automatique en moins de 48 heures à Yumbi, dans la province de Maï Ndombe frontalière avec la (...)

Du 16 au 18 décembre, 890 personnes ont été tuées à l’arme automatique en moins de 48 heures à Yumbi, dans la province de Maï Ndombe frontalière avec la République du Congo. Les assaillants, arrivés de Kinshasa et d’un village limitrophe, encadraient les membres d’une communauté locale.

L’un des plus grands massacres de l’ère Kabila a été déguisé en conflit ethnique alors que le mobile politique ne fait pas de doute.

Le gouverneur de la province, proche du régime, est indiqué comme l’organisateur de cet acte de génocide visant la communauté Banunu.

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 31/01/2019

Que se passe-t’il au Congo RDC ?

 RDC - Répression des marches citoyennes, attaquées par des tirs de gaz lacrymogènes et des tirs à balles réelles par l’armée et la police nationale congolaise. (...)

RDC - Répression des marches citoyennes, attaquées par des tirs de gaz lacrymogènes et des tirs à balles réelles par l’armée et la police nationale congolaise.
L’AFP et l’ONU parlent d’au moins 5 morts et 33 blessés.
Internet et les principaux réseaux de téléphonie mobile sont coupés.

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 21/01/2018

Maï MaÏ

Les articles

RDC : Le retour du M23

 Las d’attendre que le gouvernement respecte les engagements pris le 12 décembre 2013 à Nairobi, suite à la cessation des hostilités entre le mouvement rebelle (...)

Las d’attendre que le gouvernement respecte les engagements pris le 12 décembre 2013 à Nairobi, suite à la cessation des hostilités entre le mouvement rebelle et Kinshasa – notamment leur rapatriement conforme aux clauses des protocoles signés, le retour des réfugiés et la démobilisation des groupes armés sévissant à l’Est –, les combattants du général Sultani Makenga ont pour la plupart quitté leurs camps près de Kampala et sont rentrés au pays. Une action qui se voulait, au début, démonstrative et inoffensive…

Having enough of waiting for the government to respect the commitments made on December 12 2013 in Nairobi, which followed the cessation of hostilities between the rebel movement and Kinshasa - including their repatriation in accordance with the signed protocols, the return of refugees and the demobilization of groups Armed fighters in the east -, most of the fighters of General Sultani Makenga have left their camps near Kampala and returned home. An action which at first was meant to be demonstrative and harmless ...

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 18/02/2017

Silence inquiétant sur le front de Masisi

 Trois mois et demi après la fin des hostilités entre le gouvernement et le M23, la guerre, la violence des milices et l’épuration ethnique sont toujours (...)

Trois mois et demi après la fin des hostilités entre le gouvernement et le M23, la guerre, la violence des milices et l’épuration ethnique sont toujours d’actualité au Nord-Kivu. Les tueries de civils rwandophones, à Nyamaboko, et des militaires FARDC, à Bukombo, par une coalition de groupes extrémistes qui ont le soutien des autorités de la province, ne sont pas mentionnées dans la presse nationale, ni dans les déclarations officielles de Kinshasa, la Monusco se limitant à un communiqué laconique. Cette attitude trahit les responsabilités du pouvoir qui rechigne à se débarrasser des faucons responsables de l’insécurité et de la haine ethnique dans cette région orientale de la République démocratique du Congo.

Three and a half months after the end of hostilities between the government and the M23, war, militia violence and ethnic cleansing are still current in North Kivu. The killing of rwandophones civilians, in Nyamaboko, and Fardc soldiers in Bukombo, by a coalition of extremist groups supported by the authorities of the province, are not mentioned in the national press or in Kinshasa’s official statements, Monusco issuing no more than a terse statement. This attitude betrays the responsibilities of power that is reluctant to get rid of hawks responsible for insecurity and ethnic hatred in the eastern region of the Democratic Republic of Congo.

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 22/02/2014

Les articles

Dernière heure : Répression sanglante à Kinshasa

 On apprend à l’aube de ce 22 janvier qu’une centaine de personnes manifestant pacifiquement avec le curé et les prêtres de la paroisse St Christophe, à (...)

On apprend à l’aube de ce 22 janvier qu’une centaine de personnes manifestant pacifiquement avec le curé et les prêtres de la paroisse St Christophe, à Kinshasa/Ngaliema/Quartier Anciens Combattants, ont été arrêtées et acheminées par la Garde républicaine (GR) à la résidence de Zoé Kabila où ils seraient actuellement torturés à mort. Les prêtres ont tous leurs vêtements déchirés. "Le régime sanguinaire s’affole !" conclut notre informateur qui appelle à une réaction urgente de l’opinion internationale. "Il y a déjà des morts."

L’information provient du représentant congolais de la FIDH. Quant à Zoé Kabila, c’est le frère du Président, à la tête d’un empire financier fruit de la prédation des ressources naturelles et budgétaires et dont le trésor se trouve dans les paradis fiscaux.

L’Agence d’information

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 22/01/2018

RDC : Appel urgent au Président Macron

 Aujourd’hui, on tue à Kinshasa. C’est à la mitrailleuse que l’armée tire sur la foule descendue dans les rues pour contester le régime de Joseph Kabila (...)

Aujourd’hui, on tue à Kinshasa.

C’est à la mitrailleuse que l’armée tire sur la foule descendue dans les rues pour contester le régime de Joseph Kabila prolongé au-delà de son deuxième mandat sans même un simulacre d’élection.

Rappelons, Monsieur le Président, que cette répression intervient moins d’un an après l’ouverture, en juillet, d’un centre de formation pour les hauts gradés de l’armée rdcongolaise, formation aux techniques de contre-insurrection assurée par des instructeurs français.

Depuis plusieurs années, dans ce pays ravagé par la misère, on a pu voir l’action délétère du général Baillaud, instrumentalisant diverses milices et bandes armées à seule fin de déstabilisation, ceci prenant des proportions effrayantes, d’abord au Kivu, et maintenant au Kasaï, où les sbires de Kabila ne reculent devant aucun des sales procédés de la « guerre révolutionnaire » chère à l’armée française depuis les années 50.

Nous demandons ici solennellement le rappel du général Baillaud, ainsi que la fermeture immédiate de cette école militaire criminelle ouverte à Kinshasa sous votre responsabilité.

Nous dénonçons aussi le fait que la France – et l’Espagne [1] – aient osé bloquer toute protestation européenne, de même que la France paralyse l’ONU sur ce dossier depuis bien longtemps.

Nous demandons que la France renonce à sa fonction de « penholder » [2] au Conseil de sécurité, et rappelle au besoin son ambassadeur auprès de cet organisme, afin de permettre à la communauté internationale de regarder la situation plus impartialement.

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La Nuit rwandaise

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 21/01/2018

Que se passe-t’il au Congo RDC ?

 RDC - Répression des marches citoyennes, attaquées par des tirs de gaz lacrymogènes et des tirs à balles réelles par l’armée et la police nationale congolaise. (...)

RDC - Répression des marches citoyennes, attaquées par des tirs de gaz lacrymogènes et des tirs à balles réelles par l’armée et la police nationale congolaise.
L’AFP et l’ONU parlent d’au moins 5 morts et 33 blessés.
Internet et les principaux réseaux de téléphonie mobile sont coupés.

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 21/01/2018

Fin de partie en RDC ?

 Où l’on signale l’importance de l’accord signé entre les USA et l’Angola, le 17 mai 2017, pour le vingtième anniversaire du renversement de Mobutu. Que Luanda ait (...)

Où l’on signale l’importance de l’accord signé entre les USA et l’Angola, le 17 mai 2017, pour le vingtième anniversaire du renversement de Mobutu. Que Luanda ait aussitôt massé ses troupes à la frontière de la RDC semble confirmer que cet accord, dans lequel Washington invite l’Angola à faire le gendarme de la région, pourrait bien être suivi d’effet. Si c’était le cas, c’est l’ensemble de l’ordre françafricain, avec sa guerre révolutionnaire et ses pseudos "forces de maintien de la paix de l’Onu", qui pourrait s’effondrer comme un château de cartes...

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 1er/06/2017

RDC. Sanctions : Kalev or not Kalev…

 Les premiers voudraient l’insérer dans la liste des officiels rdcongolais coupables de violation des droits humains, les deuxièmes rechignent. Parmi les (...)

Les premiers voudraient l’insérer dans la liste des officiels rdcongolais coupables de violation des droits humains, les deuxièmes rechignent. Parmi les effets de cette querelle, on enregistre que les mesures de l’Union Européenne tardent à venir.

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 21/05/2017

RDC. Passage en force de Kabila

 Kabila tente de disperser l’opposition unie dans le RASSOP, en débauchant en son sein tout en refusant de réellement l’inclure ainsi que le prévoyaient les (...)

Kabila tente de disperser l’opposition unie dans le RASSOP, en débauchant en son sein tout en refusant de réellement l’inclure ainsi que le prévoyaient les accords du 31 décembre. Selon un observateur attentif de la situation dont l’AI rapporte les propos, travailler à la formation d’une coalition de toutes les forces qui s’opposent à la dictature est la seule voie d’issue à la crise actuelle.

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 19/05/2017

Sites Web

CEC

Commission d'Enquête Citoyenne La CEC, Commission d'Enquête Citoyenne sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda (...)
  Commission d’Enquête Citoyenne La CEC, Commission d’Enquête Citoyenne sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda « L’horreur qui nous prend au visage » L’État français et le génocide (...)
Site Web : CEC

France Génocide Tutsi

Base de données sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi Un site de Jacques Morel FgtDb comme France Genocide Tutsi Database (...)
  Base de données sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi Un site de Jacques Morel FgtDb comme France Genocide Tutsi Database est une base de données relative au rôle de la France dans le (...)

La Nuit rwandaise 11 - Volume 1 | La Nuit rwandaise 11 - Volume 2

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